Adamu parle – L’Acceptation
La huitième vidéo de la série « Adamu parle ». Dans cette présentation, Adamu reprend là où il s’était arrêté dans ses explications sur la manière d’atteindre la conscience de l’unité. Il partage avec nous la première des six étapes sacrées : l’acceptation.
Si vous souhaitez être informé de la publication des prochaines vidéos d’Adamu – et d’autres informations – veuillez vous inscrire à ma newsletter mensuelle gratuite.
_______________________
Salutations, mes amis.
Nous continuons maintenant la discussion des six étapes sacrées. Assurez-vous s’il vous plaît d’avoir vu les précédentes vidéos de cette série intitulée « Adamu parle », puisque chaque présentation se développe sur la base des précédentes.
L’acceptation
La première des six étapes sacrées est appelée « l’acceptation ». Bien que l’acceptation soit la première étape, elle est beaucoup plus que cela. L’acceptation est à la fois le portail et le chemin.
Voyez-vous, l’acceptation est ce qui vous fait passer de la conscience de la dualité de ce côté-ci, à la conscience de l’unité de l’autre côté. De la conscience de victime de ce côté, à la conscience de créateur de l’autre côté. Et c’est pourquoi je dis que l’acceptation est un portail. Mais puisque vous allez devoir VIVRE l’acceptation, et non la choisir de temps en temps, elle est bien plus qu’une simple porte. Elle est aussi le chemin. Il est crucialement important, si vous souhaitez dépasser la conscience de victime, aller au-delà des drames et atteindre la conscience de l’unité… que vous découvriez pleinement l’acceptation en vous, et que vous viviez la voie de l’acceptation.
L’acceptation est quelque chose d’incroyablement puissant.
Si vous n’avez pas vécu plusieurs vies pour maîtriser l’acceptation, alors il vous faudra un gros effort et beaucoup de pratique pour la maîtriser maintenant. Parfois, vous vous débattrez avec un problème et ferez des erreurs. Acceptez-le. Acceptez de ne pas déjà « y » être. Acceptez d’être sur un chemin. Et acceptez également le fait que vous y parviendrez assurément si vous maintenez le cap. Ce qui, évidemment, est nécessaire. Parce qu’il n’y a en réalité nulle part où aller excepté Chez-Vous, à l’UNité. Et l’acceptation, comme je l’ai dit, est le portail et le chemin qui vous y mène.
La meilleure manière pour nous d’apprendre quelque chose, c’est à travers nos propres expériences. Je vais donc vous enseigner l’acceptation en utilisant votre expérience comme véhicule. Veuillez donc, je vous prie, jouer le jeu de la démarche suivante.
Pour commencer, je vais vous demander de penser à un drame majeur de votre vie.
Complétez s’il vous plaît cette phrase :
« Je ne serai heureux que lorsque… »
Pensez maintenant à quelque chose de majeur qui, selon votre croyance, devrait changer avant que vous ne puissiez trouver votre épanouissement.
Faites une pause dans cette présentation et prenez un moment pour trouver un problème de ce genre dans votre vie. Lorsque vous en avez identifié un et complété la phrase, vous pouvez continuer la présentation.
< Faites une pause >
Bien. Vous avez identifié un drame dans votre vie.
Nous allons maintenant parcourir un petit chemin ensemble. Laissez-moi vous dire que les circonstances de votre drame sont EXACTEMENT ce qui vous arrive lorsque vous maintenez les croyances à propos de vous-même que vous avez en ce moment.
Si une particule de conscience entre dans la vie et fait les mêmes expériences que vous avez faites, et parvient aux mêmes croyances que vous… alors elle fera l’expérience de cet EXACT même drame.
Il ne peut pas en être autrement.
C’est parce que vos croyances les plus profondes gouvernent tous les choix que vous ferez. Depuis les circonstances de votre naissance, qui seront vos parents, comment vous grandirez… toutes ces expériences formatrices… jusqu’aux choses auxquelles vous pensez être « bon », les choses que vous pensez ne pas pouvoir faire, les gens avec qui vous vous associez… Tout, et je dis bien tout ce que vous avez choisi et continuerez de choisir, est filtré par vos croyances. Et ce que vous croyez et choisissez… est la direction où se dirige votre énergie. Et là où se dirige votre énergie, c’est là où vous allez. En résumé mes amis, la vie vous retournera toujours les effets de vos croyances les plus intimes.
Et lorsque vous avez vécu un nombre de vies dans la dualité, c’est un fait absolument garanti que vous aurez accumulé de nombreuses croyances qui sont toutes basées sur la séparation. Vous aurez incorporé la peur, la douleur, la colère et la perte à votre système de croyances. Et donc, la vie vous reflétera ces choses. Vous verrez de multiples drames s’additionner dans votre vie, aux niveaux global, national, social, familial et personnel. Tous ces drames se joueront dans votre vie, constamment.
Vous pouvez, bien sûr, vous engager dans ces drames… vous pouvez persister à vouloir que les choses soient différentes de ce qu’elles sont… mais les drames eux-mêmes se répéteront continuellement pour vous jusqu’à ce que vous changiez la ou les croyances de base que
vous maintenez à propos de vous-même, qui invitent en réalité ces drames.
Mes amis, il est crucial que vous le compreniez ! Votre drame n’est pas quelque chose de fortuit qui vous arrive par accident ou par malchance. Vous le créez et l’invitez et l’attirez à vous. Et le mécanisme de cette attraction, c’est un élément de ce que vous croyez à propos de vous-même.
Et c’est CELA que nous allons faire ici. Les six étapes sacrées sont en fait le moyen de guérir vos croyances. Nous commençons par identifier les croyances préjudiciables que vous maintenez quelque part dans les profondeurs des circonvolutions de votre psyché, puis nous nous appliquons à guérir ces croyances en les remplaçant par quelque chose d’infiniment plus aimant et valorisant. Et dans ce processus, vous découvrirez à quel point il est vrai que VOUS êtes le créateur de votre réalité tout entière. Parce que vous VERREZ personnellement, dans votre propre expérience, que lorsque vous guérissez votre croyance, votre monde change pour vous. Là où vous aviez bataillé toute votre vie, luttant et échouant à faire changer les choses parce que vous batailliez avec le drame… vous verrez soudain que le drame change de lui-même en parallèle à votre propre changement intérieur. La vie autour de vous guérit lorsque vous guérissez votre croyance.
Voilà ce que nous faisons. Mais nous ne pouvons pas travailler sur le problème tant que vous êtes attaché à une fausse identification du problème.
Permettez-moi d’illustrer. Si vous regardiez dans un miroir, et que le miroir vous montrait que vos cheveux étaient en désordre, vous n’essaieriez pas de changer le miroir, n’est-ce pas ? Vous n’essaieriez pas de peigner votre reflet dans le miroir. Eh bien, votre drame est comme le reflet d’un miroir. Il vous montre simplement d’une absolue clarté ce qui se passe dans votre propre psyché, dont vous n’êtes pas conscient. Il n’y a donc pas plus de sens à essayer de réparer le drame… les circonstances extérieures… qu’il n’y en a à essayer de peigner le miroir.
Ce que vous faites, c’est UTILISER le reflet du miroir pour peigner vos cheveux. Et ensuite, comme par magie, le miroir vous renvoie l’image de votre coiffure parfaitement arrangée. De la même façon, vous UTILISEZ votre drame pour comprendre ce qui se passe en vous… puis vous changez votre propre paysage intérieur… et ensuite, comme par magie, vous voyez EFFECTIVEMENT le drame changer. Ou disparaître complètement.
C’est le principe. Vous comprenez maintenant qu’il n’y a pas de sens à s’émotionner à la vue d’un reflet de miroir. C’est JUSTE un reflet. Il ne sert à rien d’y résister et de vouloir en faire autre chose que ce qu’il est. Le reflet du miroir, simplement, EST. C’est ce qui se trouve dans le miroir, quand vous êtes comme vous êtes.
Votre drame, similairement, EST. Il ne sert à rien de vous mettre en colère, de vous sentir abattu ou triste ou encore d’avoir du ressentiment. Et donc le premier pas, le pas libérateur, le pas qui ouvre la porte et nous permet d’avancer pour effectuer de réels changements bénéfiques…
C’est d’accepter le drame. D’accepter que les choses soient comme elles sont lorsque vous êtes comme vous êtes.
Et maintenant, vous allez faire un pas qui vous paraîtra peut-être étrange et inconfortable au début. Pour continuer la métaphore du miroir, ce serait comme si vous vous teniez immobile devant le miroir, et que vous REGARDIEZ tout simplement ce qu’il y a dans le miroir. Vous prenez un moment pour observer. Vous vous dites : « VOILÀ comment sont mes cheveux en ce moment. » Sans jugement, sans critique. Une simple évaluation. Je parle d’ACCEPTER ce qui se trouve dans le miroir.
Maintenant, repensez s’il vous plaît à votre drame. Mais cette fois, vous allez changer la déclaration :
« Je choisis d’accepter que (quel que soit votre drame) se déroule dans ma vie en ce moment, car c’est un reflet précis de mes croyances. »
À nouveau, prenez le temps de faire une pause dans la présentation pour formuler votre déclaration, afin qu’elle reflète précisément votre situation. Et s’il vous plaît, c’est important, énoncez cette déclaration à voix haute. Faites-le maintenant.
< Faites une pause >
Qu’avez-vous ressenti ? Etait-ce bizarre ? Avez-vous eu l’impression de vous mentir à vous-même ? Avez-vous eu l’impression de dire les mots, mais sans les ressentir en vous ? Ou alors, avez-vous ressenti une impression libératrice de reprise de pouvoir ?
Mes amis, quelles que soient les sensations que vous avez ressenties, tout va bien. Vous êtes sur un chemin avec moi. Et nous n’avons pas besoin d’arriver à destination au tout premier pas. Alors s’il vous plaît, ne vous inquiétez pas outre mesure de ce que vous avez ressenti. Remarquez-le. Acceptez-le. Parce que tout ce dont vous avez besoin à cette étape, c’est la déclaration que vous venez de faire, d’accepter le drame. Voyez-vous, le degré auquel vous n’acceptez PAS votre drame, est le degré auquel il réside en dehors de vous. Tout ce qui est hors de vous est hors de votre contrôle. Vous en êtes une victime. C’est donc ce que nous faisons ici. Nous acceptons la situation. Le faire permet de reprendre en vous la situation. Le drame et ses causes retournent en votre intérieur. Lorsque vous l’acceptez, il devient vôtre. Lorsqu’il est vôtre et en vous, alors vous pouvez savoir que vous l’avez créé. Et par voie de conséquence, vous pouvez ensuite le créer différemment.
Comprenez-vous maintenant pourquoi la première étape, l’étape la plus cruciale, est l’acceptation ?
Il y a cinq étapes consécutives, et à chacune de ces étapes, nous parlerons du processus de vous peigner les cheveux devant le miroir. Mais d’abord, VOUS devez accepter entièrement. Et c’est donc le travail qui vous attend d’ici la prochaine présentation. Je vous encourage vivement à prendre le temps. Prenez quelques jours, ou davantage. Prenez le temps de réellement être avec le drame. Dites à voix haute que vous acceptez le drame. Pensez-le. Ressentez-le. Permettez au drame de se montrer à vous sous toutes ses coutures pour que vous puissiez en accepter chaque aspect. Quand vous SAVEZ que vous l’acceptez tel qu’il est, alors vous êtes prêt à avancer.
Avancer alors que vous n’êtes pas prêt ne marchera tout simplement pas. Si vous n’êtes pas dans l’acceptation, alors vous ne créez pas. Vous ne faites que réagir comme vous l’avez toujours fait… en tant que victime qui essaie d’éviter les résultats de ses propres choix. Et dans ce cas, ce processus ne fonctionnera pas. Vous suivrez toutes les étapes et à la fin vous direz : « Mais rien n’a changé ! » Vous penserez que la méthode est défectueuse. Tout cela parce que vous n’aurez pas fait l’effort de parvenir à une réelle acceptation de votre drame.
Donc ceci, mes amis, est votre travail personnel. Ecrivez, je vous prie, votre déclaration d’acceptation de votre drame. Puis répétez-vous cette déclaration d’acceptation et voyez comment le drame se présente à vous différemment, à mesure que vous vous rapprochez progressivement de son acceptation.
Remarquez ce que vous ressentez pendant qu’il se déplace de l’extérieur vers l’intérieur. Remarquez de quelle façon ce que vous ressentez est différent. Remarquez que, même si le drame ne change pas nécessairement, la façon dont vous vous sentez par rapport à lui change. Que vous devenez plus paisible, plus calme et plus centré.
C’est le processus de l’acceptation.
L’acceptation se produit lorsque vous ne résistez plus au drame. Vous n’exigez plus qu’il soit différent.
L’acceptation se produit lorsque vous renoncez à votre attachement à ce que la vie soit différente de ce qu’elle est. C’est ainsi qu’est la vie, lorsque vous êtes comme vous êtes. La vie EST.
L’acceptation se produit lorsque vous allez au-delà du pardon ; lorsque vous réalisez qu’en réalité, il n’y a rien à pardonner.
Vous avez choisi de faire un premier petit pas en direction de l’acceptation, en choisissant d’accepter l’un de vos drames. Je vous en félicite. C’est la première étape et vous êtes maintenant sur le chemin.
Mes amis, si je pouvais vous accueillir dans une retraite spirituelle au sommet d’une montagne, nous pourrions travailler sur l’acceptation pendant des années avant que le sujet ne soit épuisé. Et vous pourriez, comme je l’ai dit, passer plusieurs vies incarnées à maîtriser l’acceptation. Donc aujourd’hui, dans cette présentation, ce que je vous ai offert n’est que la plus brève indication de ce qu’est l’acceptation, et de ce qu’il pourrait signifier de vivre dans l’acceptation.
C’est maintenant à VOUS de vivre ce principe. De prendre cette graine appelée acceptation et de l’arroser pour qu’elle puisse fleurir dans votre âme. Votre objectif est d’apprendre à accepter non seulement ce drame, mais tous vos drames. Et pas seulement tous vos drames, mais le principe même de drame. Et pas seulement le principe même de drame… mais toute la Vie. Mes chers amis. Vous y parviendrez en temps voulu. Vous parviendrez tous à accepter parfaitement et complètement et entièrement toute la Vie. Et lorsque vous le ferez, vous serez magnifiques. Vous serez des êtres de pure, brillante lumière, d’une capacité et d’un pouvoir créateur infinis. Et c’est ce qui vous attend sur le chemin de l’acceptation.
Avant de vous quitter, il y a certaines choses que je voudrais vivement vous conseiller de faire à cette jonction de la route :
La première, c’est que vous preniez régulièrement le temps de prendre possession de votre vie. Il s’agit de prendre du temps, seul ou en compagnie de ceux que vous aimez et en qui vous avez confiance, pour réfléchir et discuter de la direction de votre vie. De vos objectifs et aspirations. Ce sont des moments durant lesquels vous apprenez des choses sur vous et sur vos drames. Des moments où vous fixez des objectifs pour votre guérison et votre évolution. Des moments où vous regardez en arrière sur le chemin que vous avez parcouru et évaluez comment cela s’est passé pour vous, et où vous prenez conscience des choix qui ont fonctionné et de ceux qui n’ont pas fonctionné.
Il vous serait très bénéfique de rejoindre un groupe d’âmes sur la même longueur d’onde, pour vous rencontrer et discuter. Pour partager, enseigner et apprendre ensemble.
Et sur ce mes chers amis, je dois maintenant vous quitter. Dans la prochaine présentation, je parlerai de la deuxième des six étapes sacrées : l’intention.
Je vous aime avec le cœur de l’UNité.
Je suis Adamu de l’Entité Monadique de la Civilisation Pléiadienne.