Adamu parle – L’intention : Supplément par Zingdad
À la suite de la vidéo d’Adamu sur l’intention, j’ai travaillé assez longuement à trouver et à formuler ma propre intention. Et Adamu m’a demandé de partager ma démarche avec vous, parce qu’elle pourrait vous aider dans la vôtre.
Dans cette vidéo, je partage ma quête d’une intention divinement inspirée, comment je suis parvenu à cette intention et ce qu’elle signifie pour moi. Vous comprendrez le rôle fondamental de l’acceptation (la première des étapes sacrées) et pourquoi c’est une étape cruciale pour trouver votre intention divinement inspirée. Vous comprendrez aussi la différence entre une intention prise depuis l’ego/le mental et une intention prise depuis le cœur. Veuillez s’il vous plaît considérer cette vidéo comme une partie de la progression à travers les étapes sacrées !
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Zingdad : Bonjours mes amis.
Sous forme d’un rapide supplément à la série vidéo « Adamu parle », j’ai été invité à partager ma perspective actuelle sur la formulation d’intention. Alors, la voici :
Après avoir soigneusement écouté le précédent message d’Adamu, j’ai décidé qu’il était temps de commencer à opérer un peu de magie cosmique dans ma vie. J’ai décidé de formuler une intention, que j’utiliserai à travers les prochaines étapes également. Mais avant de le faire, j’ai pris un peu de recul pour me trouver dans une place de vraie acceptation. Rappelez-vous, l’acceptation est la première des six étapes sacrées.
Donc, l’acceptation.
C’est un mot qui a pris une telle signification et une telle importance dans ma vie ces dernières années. Là où j’en suis actuellement, la vraie acceptation signifie, pour moi, qu’absolument tout dans ma réalité est exactement comme ce devrait être. Que rien n’est faux. Rien n’est brisé. Rien ne doit être réparé ou changé. Que chaque être créateur crée sa réalité depuis sa perspective et reçoit le résultat de ses créations.
Evidemment, cela ne signifie pas que tout le monde aime ce qu’il reçoit ! Loin de là. Apparemment, ceux qui ignorent créer leur propre réalité, ou qui ignorent comment utiliser leurs pouvoirs créateurs avec sagesse, créent très souvent toutes sortes de choses qu’ils détestent. Ce qui est probablement le cas de la grande majorité de la population humaine sur la planète en ce moment. Mais haïr nos propres créations ne signifie toutefois pas que nous ne les avons pas créées. Et nous DEVONS chacun recevoir ce que nous créons pour pouvoir apprendre à créer mieux. Vous savez, comme un jeune enfant DOIT apprendre à ne pas faire certaines choses, comme toucher des casseroles brûlantes ou caresser un chien agressif ou s’élancer sur la chaussée… parce que ces choses conduisent à de douloureux résultats. De la même manière, nous, créateurs juniors, devons apprendre à contrôler nos pensées, nos paroles, nos actes et nos émotions afin de créer les choses que nous aimons REELLEMENT. Parce que c’est la seule façon de dépasser la croyance que nous sommes des victimes. Que nous ne créons pas notre réalité. Que nous ne recevons pas de la part de la vie ce que nous avons créé.
Donc… si vous suivez mon raisonnement… ce que je dis, c’est que le monde est exactement comme il est supposé être. Aussi cruel, triste, douloureux, effrayant et perturbant qu’il puisse parfois sembler. Chaque âme reçoit, tout au long de l’ensemble de ses incarnations, ce qu’elle crée.
Vous pourriez penser que ce n’est pas vrai. Vous pourriez avoir toutes sortes d’objections à cette notion. Vous pourriez me dire : « Et les enfants abusés, alors ? Ils sont innocents et n’ont pas créé ces abus », ou : « Et les animaux maltraités ? », ou encore : « Et les gens qui souffrent d’horribles maladies ? ». Et la liste continue. Il y a probablement une infinité d’objections possibles à ma position d’acceptation totale. Mais je ne suis pas ici pour vous persuader de quoi que ce soit. Vos croyances sont de votre propre responsabilité, à 100%. Mais si vous avez envie de voir comment j’ai changé ma perspective et ces exactes mêmes croyances qui me gardaient enfermé dans un état de victime effrayée, alors je vous invite à lire le premier tome des Papiers de l’Ascension. La version électronique en est téléchargeable gratuitement depuis mon site internet. Et si vous préférez, il existe aussi une version papier. Jetez-y un coup d’œil. Vous trouverez ce livre transformateur si vous êtes prêt à renoncer à vos croyances en votre statut de victime. J’en suis sûr.
Le point que j’explique ici, c’est que j’accepte à 100%, pas seulement conceptuellement… mais jusqu’au centre de mon être… en tant que vérité fondamentale de mon existence… que chaque particule de conscience, depuis Dieu en passant par les anges et les entités monadiques jusqu’aux plus petits fragments de conscience ici sur Terre… qu’absolument chacun crée sa réalité depuis sa perspective. Oui, c’est une réalité co-créée. Ce qui signifie que la façon dont nous créons est d’inviter des autres à jouer des rôles et à faire des choses dans notre réalité. Mais si un être ne crée pas directement une expérience qu’il vit, il l’aura invitée et aura accepté qu’elle soit créée pour lui.
Je suis sûr de ça.
Je sais aussi que la vaste majorité des gens sur Terre en ce moment ne seront pas d’accord avec moi. Je sais pourquoi. Et je l’accepte aussi. Il ne m’appartient pas d’essayer de changer l’opinion des gens et de les convaincre. J’accepte que chacun soit exactement là où il a besoin d’être.
Et puisqu’il en est ainsi, je trouve le moyen d’accepter ce qui serait autrement inacceptable. J’accepte que ce soit toujours le même genre de politiciens corrompus et égocentrés qui soit élu pour servir les intérêts des corporations. J’accepte la pollution sur la planète. J’accepte le crime qui ronge pratiquement chaque société dans le monde. J’accepte les contrats douloureux que les âmes ont signé avec leur corps, menant à… eh bien… la litanie de malheurs qui en découle. J’accepte tout cela. Je n’essaierai pas de changer les choses. Je suis en acceptation totale de cette réalité et de ma place ici.
Et maintenant que je suis dans l’acceptation… maintenant, je peux choisir.
Souvenez-vous, Adamu nous a appris que si nous ne sommes pas dans l’acceptation, nous sommes dans une position de victime. Et de là, nous ne pouvons pas choisir. Eh bien, mes chers amis, je peux vous dire qu’il m’aura fallu une vie entière pour parvenir à ce niveau d’acceptation. Et en y parvenant, je peux SENTIR que ça change tout pour moi. Cette sensation est une paix des plus profondes. Et si vous ne connaissez pas la paix, je peux vous dire ce qu’elle signifie réellement : c’est la possibilité d’un espace mental véritablement calme et tranquille. Toutes les pensées de peur, de colère et d’absurdités incessantes qui caquetaient dans ma tête sont parties. Oui, c’est vrai, j’ai dû travailler sur mon Ombre pour y arriver. Mais j’y suis désormais. Et si vous êtes d’humeur à me croire, alors je vous demande de croire que trouver cet état d’acceptation et la paix qui l’accompagne vaut chaque parcelle d’effort qu’il en coûte pour y parvenir. Encore et encore.
Et puisque je suis dans l’acceptation, je peux commencer à choisir et à créer.
Une autre chose qui arrive lorsqu’on est dans un état de paix, c’est que tout d’un coup, on peut écouter son cœur.
Laissez-moi vous en parler brièvement.
Lorsque votre mental discute sans cesse, tout ce que vous avez, c’est du bruit. Quand vous trouvez la paix et que votre espace mental est tranquille, vous découvrez que vous pouvez entendre votre cœur. Et quand vous entendez votre cœur, vous réalisez subitement que c’est le portail vers votre âme. Le Divin en vous vous parle à travers ce portail. Pas par le même genre de mots bruyants que votre mental utilise. Non, votre Divin Intérieur se déplace à travers votre cœur et vous permet de simplement SAVOIR les choses. En tout cas, c’est mon expérience personnelle. Peut-être que si vous atteignez la paix, vous aurez des visions. Ou des sentiments et sensations. Ou peut-être que vous entendrez des choses de votre Divin Intérieur. Je l’ignore. Mais vous serez assurément inspiré par ce qui est la vérité la plus profonde et la plus juste pour vous.
Ce qui m’amène, finalement, à pouvoir parler de l’intention.
Voyez-vous, avant d’accéder à cette paix et d’être capable d’écouter mon cœur, j’aurais formulé mes intentions à partir de ce bavardage mental inquiet et tourmenté.
J’aurais formulé l’intention que le monde change. Que les gens deviennent meilleurs. Que le crime diminue. Que les politiciens deviennent honnêtes. Que la pollution cesse. C’est le genre d’intentions que j’aurais formulé si je me sentais altruiste. Et si je me sentais plus égoïste, j’aurais probablement formulé l’intention de gagner plus d’argent. Ou qu’un problème physique disparaisse magiquement.
Mais, le voyez-vous ? À la base de chacune de ces intentions se cache la déclaration implicite que je suis une victime. Que je ne peux pas être heureux tant que les autres ne changent pas. Et c’est ce qu’Adamu appelle un drame.
Mais maintenant que je trouve la paix et peux écouter mon cœur, une intention se dessine. Elle apparaît dans ma tête, lumineuse, joyeuse et brillante. Et tout simplement, je SAIS que c’est mon intention pour moi-même. Je sais qu’elle est juste pour moi. Depuis le cœur de l’UNité, en passant par tous les niveaux de mon Moi-Intérieur jusqu’au petit fragment d’âme habitant un personnage appelé Arn Zingdad Allingham. Je sais que c’est JUSTE POUR MOI. Et voici cette intention :
C’est mon intention de trouver ma façon de partager mon don aussi courageusement [fearlessly] que possible, avec chaque partie de la Vie qui le souhaite.
J’aimerais vous dire pourquoi c’est mon intention et ensuite, comment je l’ai condensée en une déclaration concise et puissante.
Voyez-vous, quand j’y réfléchis, je ne suis pas motivé par l’argent. Je ne cherche pas à savoir ce qu’il pourrait m’apporter. Ce qui me motive, ce qui me rend réellement heureux, c’est de partager mon don. Et ce qui me transporte de joie, c’est de sentir et de savoir que mon don fait une différence. Qu’il aide, guérit et rend service. J’aime savoir que davantage de joie et de positivité bourgeonnent dans ce monde par le fait que j’y sois venu. Cette idée me remplit d’amour. Et donc, je veux juste partager mon matériel d’information le plus rapidement et à la plus haute fréquence vibratoire que je puisse.
Mais je suis aussi un petit être humain mortel en ce moment. Et mon pauvre petit ego humain a exactement les mêmes peurs que le vôtre. J’ai peur de ne pas avoir assez. J’ai peur de manquer. J’ai peur de me retrouver coincé, perdu, dans le besoin. J’ai peur, j’ai peur, j’ai peur.
N’est-ce pas ?
Ce sont ces peurs qui nous poussent vers des emplois que nous détestons. Qui nous poussent à contracter toutes sortes d’assurances dans le domaine de la santé et le domaine professionnel. Qui nous poussent à voter pour des programmes de sécurité sociale etc, etc. Je ne dis pas que c’est faux ou mauvais. Moi-même, j’ai renoncé à ces assurances. Mais je ne dis pas que c’est mauvais pour ceux qui choisissent ces choses. Ce que je dis, c’est qu’il est évident que tout le monde a ces peurs. Pourquoi, par exemple, les milliardaires ne cessent-ils pas de travailler ? Pourquoi ne se disent-ils pas : « Je possède tellement de richesses qu’il n’y a plus de sens à en accumuler davantage » ?
Je vais vous le dire. L’avarice se développe à partir de ces mêmes peurs. Plus on est riche, plus on a peur de perdre ce qu’on a. Aucune quantité d’argent ne sera suffisante pour nous libérer de notre peur de ne pas avoir assez.
Alors, j’accepte cela également. J’accepte que mon corps ait des besoins de base auxquels je dois répondre et que certaines peurs fassent partie de l’incarnation d’une vie humaine. C’est okay. Je choisis simplement de ne pas être motivé par ces peurs.
Vous voyez ? C’est okay d’avoir peur. Vous ne pourrez jamais complètement anéantir toutes vos peurs. Elles font partie intégrante du genre de vie que nous menons ici. Mais vous pouvez choisir de cesser d’être gouverné par vos peurs.
Savez-vous ce qu’est le courage ? Ce n’est pas d’être sans peur. Le courage, c’est ressentir la peur et faire ce qui est juste malgré tout. Mais vous le saviez déjà, n’est-ce pas ?
J’ai donc ces peurs, tout comme vous. Et je décide de la plus grande fermeté dont je sois capable, de faire ce qui est juste pour moi malgré mes peurs. Je choisis d’offrir mon don le plus courageusement possible. Je choisis de ne pas me limiter, me bloquer, me saboter ou me restreindre de quelque manière que ce soit, dans le partage de mon don avec toute partie de la Vie qui nécessite ce que j’ai à offrir.
Et le meilleur de cette intention, c’est qu’elle me procurera la plus grande joie possible. C’est, pour moi, la meilleure façon d’obtenir l’expérience la plus heureuse, épanouissante et réjouissante de la vie.
Et cette intention comporte un autre grand bénéfice. Je sais comment la vie fonctionne. Je sais que ce que l’on exprime est ce que l’on reçoit. Et donc, en mettant cette intention en pratique, la vie me rendra une abondance de cadeaux. Si je donne de cette manière, alors je peux me préparer à recevoir de la même manière ! Et je suis prêt ! Par le passé, j’ai eu des difficultés à recevoir. Mais dernièrement, j’ai travaillé à défaire mes blocages dans ce domaine également.
Mais le point essentiel, c’est que cette intention m’est parvenue et j’ai immédiatement pu en voir toute la beauté. C’est ce qui est juste pour moi. Je veux me concentrer sur le partage de mon don et laisser la Vie prendre soin de tout le reste.
C’est donc mon intention. Je l’ai déclarée en ces termes :
Je partage mon don toujours plus courageusement et abondamment avec chaque partie de la Vie qui le souhaite.
Comment la trouvez-vous ?
J’espère que ma démarche vous aura apporté quelque chose sur votre parcours. J’espère que vous êtes en train de trouver votre intention. J’espère que vous formulerez une intention qui vous servira réellement. Qui vous servira, non pas à vous démontrer à vous-même comment ne pas formuler une intention, mais qui vous servira en vous apportant joie, amour, expansion et abondance.
Comme Adamu l’a fait remarquer, je sais que cette déclaration d’intention n’est qu’une des étapes. Mais au moins, je l’ai parcourue et je suis désormais prêt à énergiser cette intention au travers des dernières phases du processus. Dans la prochaine vidéo, je redonnerai la parole à Adamu pour qu’il nous parle de la troisième étape : l’action.
D’ici-là, je vous dis au revoir.
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